1. Pareille à la harpe, la voix de l’Agneau S’entend au‑delà du trépas. Le cèdre et le chêne, si fiers et si hauts, Se prosternent devant le Roi. Ses lèvres proclament la paix, la vertu, Reflets de sa grâce infinie. Lui, source d’eau vive, offrira le salut Et tous connaîtront leur Ami.
2. Nul ne peut décrire ses vêtements blancs, Leur éblouissante beauté. Radieux, il sourit et bénit amplement La terre et les cieux étoilés. Sa miséricorde réchauffe les cœurs, Éclaire toute âme en tout lieu. Son rayonnement est empreint de douceur, D’amour si profond, si précieux.
3. Lorsqu’il apparaît, l’univers, avec joie, Entend son message divin. Il parle et les cieux, en hommage au grand Roi, Publient ses louanges sans fin. À ton doux appel, mon Berger, j’obéis, Car j’aime et j’écoute ta voix. Protège‑moi, ô mon Sauveur, mon abri, Je me réjouis d’être à toi !