1. Où pourrais-je chercher la paix de l’âme? Quand je ne peux trouver nul réconfort, Quand mon cœur est brisé, que, plein de larmes, Seul je tiens à rester, où est le port?
2. Lorsque je me languis dans la souffrance Dans mon trouble infini, où puis-je aller? Où rechercher la main de l’espérance? Qui comprend mon chagrin? Mon Frère Aîné.
3. Mon Sauveur bien-aimé ôte ma peine, Dans mon Gethsémané, ouvre le ciel. Il m’accorde sa paix, brise mes chaînes, Son amour, sa bonté sont éternels.